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Marche nordique du samedi ou du mercredi (précisé)

Roissy en Brie, le 16 décembre

Le Père Noël et les petits lutins, pour la dernière marche nordique de l'année 2023.

Vin chaud, pain d'épices, cake… pour terminer en beauté.

De très bonnes fêtes à tous.

Jean Yves Philippe

Roissy en brie, le 30 septembre

Grosse affluence ce matin, 24 marcheurs/ses motivés, pour effectuer le tour de Roissy par la piscine le Nautil (11 km ±), et avec le soleil    . Bravo à tous.

Jean-Yves Philippe

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Champcueil, le 8 juillet

La dernière Marche Nordique de la saison, à Champcueil (91). Forêt des grands Avaux, sous une forte chaleur, mais toujours dans la bonne humeur. A suivi, un pique-nique.

Jean-Yves Philippe

Dammartin sur Tigeaux, le 10 juin

Les participants et le moulin de Prémol

Jean-Yves Philippe

Roissy étang du Coq, le 17 décembre

Engagez-vous, engagez-vous qu’ils disaient. Et pour attirer le chaland, les animateurs ont même promis un vin chaud, après la séance de marche nordique. Voici donc les participants alléchés par cette promesse, et prêts à tout pour tremper des lèvres gourmandes dans la potion magique préparée par notre druide vénéré Fernandix Bordix.

Ceci posé, il faut, avant cette récompense, affronter quand même le froid. Et ça pèle, et ça gèle. Même si notre armée de mères et de pères Noël coiffés des chauds bonnets rouges et blancs, sont habitués à parcourir les contrées enneigées sur leurs traîneaux électriques équipés de pompes à chaleur et de chauffe-eau thermodynamiques, l’ambiance est glaciale…. Jusqu’à ce que notre Père Jean Yves Noël en chef, ne se décide à dégeler l’assistance avec des échauffements hystériques et complètement bios, sur une musique entraînante. Les mouvements produisant de l’énergie, voici des bonnets qui s’allument, et font étinceler des diodes facétieuses. Et comme le dit la chanson, tout finit en dansant !!! On nez chaud, alors, en navrant !!!

Nous longeons le Morbras, transperçons la voie ferrée. Quelques buttes plus loin, nous voici dans les bois précédant l’étang du Coq (je résume). Nous perdons dans les taillis quelques marcheurs, euses, pressés, ées de marquer le territoire pour chasser les intrus. Heureusement, les voici peu de temps après jaillissant de la lisière, à pas comptés pour rejoindre le reste du groupe de marcheurs empereurs, serrés les uns contre les autres, pour se tenir chaud, à côté de la banquise de l’étang. Car la surface est gelée, et pas qu’un peu. A tel point qu’il est question d’y lâcher des ours blancs pour rééquilibrer l’écosystème de cet environnement perturbé par la présence de l’homme. En effet, des études récentes très sérieuses notent d’importantes colonies de randonneurs pléthoriques à réguler.

Nous profitons de l’absence provisoire de ces carnassiers pour prendre tranquillement la traditionnelle photo de groupe. Tout le monde a réussi à rentrer dans l’objectif. Peut-être pour s’y tenir au chaud ?

Nous repartons vers la piscine du Nautil, négligeant l’aire de pique-nique pourtant si accueillante. Le chemin qui longe ensuite la route devrait être boueux. Pas de chance pour la gadoue collante qui enchante nos lavabos au retour des sorties. Tout est gelé. Merci père Noël. Comme dit le proverbe : « quand la Brie est gelée, les godasses sont sauvées ».

Continuons en rentrant dans le bois. S’ensuit une longue ligne droite d’abord par une belle allée qui, petit à petit, se rétrécit en un sentier herbeux et sinuant. Nous entendons des détonations de fusils de chasse. Probablement un lâcher de randonneurs. Constatant que nous sommes les seuls dans cette forêt, il s’agit sans doute de nous. Horreur !! Alors, courage fuyons !

Arrivés à la route d’Ozoir hors d’haleine, nous constatons les premières défections. Christine fatiguée par notre fuite éperdue, et attirée par l’odeur du café, part se réfugier chez Xavier et Isabelle.

Les survivants continuent gaillardement en direction de Roissy. Arrivés au passage à niveau (je résume encore), c’est la débandade. Le groupe s’étire mais pas comme on aurait pu le penser ! Les plus gourmands filent directement chez Fernand. D’autres vont dans une direction inconnue du grand public. D’autres encore partent récupérer leurs voitures au stade. Quel bazar !! Pourvu que nous nous retrouvions tous chez Fernand.

Et c’est en père Noël qu’il nous accueille chaleureusement à côté d’une machine infernale. Elle fournit un délicieux vin chaud, à la composition ultra secrète. Au premier verre, nous voici tout ragaillardis. Une vraie potion magique. Nous dégustons les pâtisseries et autres douceurs amenées par les uns et les autres. Profitons de ce moment festif et amical fort bien venu, après avoir affronté les frimas. La source de vin chaud pilotée par un Fernand imperturbable débite en permanence, et semble intarissable. Les gosiers s’esbaudissent, les joues se rosissent et les toilettes se remplissent. Bref, c’est la fête. Un grand merci à Françoise et Fernand pour leur accueil. Nous clôturons ainsi de belle manière, la fin de notre année nordiquement marcheuse. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine, si le foie gras et le champagne nous le permettent, car il reste deux gros obstacles à passer : Noël et le jour de l’an. Comme dirait l’autre : « mens sana in corpore sano et allez y mollo ».

Bises à tous et joyeuses fêtes.

Jean Daniel Gasparini

Bois Saint Martin - Pontault par Denfert-Rochereau, le 10 décembre

J’ai un scoop : il fait froid ce samedi matin ! Malgré tout, nous voici 14 à partir explorer les allées magnifiques du bois Saint Martin récemment ouvert au public, dans la banlieue de Pontault Combault. Nous nous échauffons comme des bêtes. Et… c’est parti.

Avant d’entrer dans le bois, on est prié de se salir les chaussures dans la pataugeoire boueuse en travers du portail métallique.

Des chênes magnifiques nous observent nonchalamment grimper à vive allure la rampe du pont qui enjambe la voie ferrée. Virage serré à gauche avec dérapage contrôlé, reprise de la vitesse dans la ligne droite avec arrêt au stand pour vidange et remplissage du réservoir, le tout en un minimum de temps, puis passage de la baïonnette de la mort, et pointe de vitesse dans la ligne droite des Hunaudières.

Nouvel arrêt au stand. Michèle disparaît loin dans les bois effeuillés en quête d’un petit coin bucolique pour méditer sur la vanité de ce monde cruel. Nous attendons patiemment son retour, et dans un jaillissement de mottes de terre projetées par nos mollets surpuissants, nous reprenons nos cadences infernales jusqu’à la gare des Yvris. D’un commun accord, et pour limiter la production de CO2, nous n’irons pas à Denfert Rochereau, et donc, continuons en sautant allègrement la voie ferrée jusqu’au bois de Célie.

Un sentier mangé par les troncs abattus et des lianes envahissantes, nous y mène dans une lumière sombre, et quasi crépusculaire !! Un petit pont au-dessus du Merderet (mais oui c’est un ruisseau), une grande allée plus tard, et nous faisons halte au bord de l’étang dont je n’ai pas le nom, et que j’ai la flemme de chercher. Une photo nous regroupe pour fixer cet instant, dont on reparlera dans des siècles, et nous revenons au point de départ (c’est malin !!), par sentiers et larges allées.

Au total 10,346 km à 5,8 km/h chronométrés par Rolex, la marque des champions.

Bon, on s’étire, et on se tire, et vite, car il fait bien froid.

Cette fois-ci, nous n’avons pas encore réussi à semer notre nouvelle marcheuse Marie Agnès. Incroyable comme elle s’accroche ! Souhaitons-lui la bienvenue, mais nous réessaierons la prochaine fois !

Bravo à toutes et à tous pour cette belle balade. Vite à samedi prochain, surtout pour le vin chaud qui nous attend après !!

Jean Daniel Gasparini

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Roissy-en-Brie/Pontcarré, le 15 octobre

Les 12 marcheurs « Nordique » du jour. Petite bruine au départ, mais petit soleil au retour (11 km).

L'automne déploie ses couleurs, l'arbre est un chêne des marais..
Nordiquement.
Jean-Yves Philippe

Tigeaux, le 4 juin

Comme promis, nous avons rendez vous au fond du chaudron de Tigeaux, près de la mairie. 10 courageux euses prêts à s’attaquer aux pentes. Il n’a pas plu de savon ni d’eau, et le sol est bien sec et bien adhérent.

Ça va barder pour les cuisses !!

La température est au top ni trop élevée, ni trop fraîche, juste ce qu’il faut. Vous savez, c’est comme à la cuisine, on prépare les menus à température ambiante, avant de mettre au four ! Nous avons le choix, à propos de four, entre la cuisson manuelle avec un soleil généreux, ou la cuisson potentiellement électrique avec des orages prévus par la météo. Je vous ai parlé d’un groupe de courageux. Donc on s’en tamponne le coquillard avec un tibia de langouste, et faisant fi de ces menus inconvénients, nous entamons une série d’échauffements, histoire de préparer les nonosses de nos petites articulations en apéro gesticulatoire.

Cette sortie se placera sous le signe de la gastronomie italienne. Mais je ne vous dis pas tout maintenant, soyez patients que diable !

Donc, nous voilà partis par une pente immédiate dans d’agréables sous-bois frais et bienveillants. Bien, ça monte et ça descend. Je l’écris tout de suite et je n’y reviendrai plus.

La traversée d’un grand champ de céréales (je suis prudent !) nous amène à un carrefour, et Isabelle et Xavier dégainent une botte secrète. Il s’agit d’un « pane forte » ramené de leur voyage en Toscane. Un délicieux lembas donné par la fée Galadriel, et qui comble l’appétit avec seulement une miette. Autonomie garantie !!! Vu la somme faramineuse des sommets à gravir alentour, nous engloutissons la totalité de ce délicieux entremet qui nous fournira de l’énergie pour au moins toute la semaine ! Merci à Isabelle et Xavier pour cette délicate attention fourrée aux amandes entre autres. Regardez bien les photos de ce délicieux produit car il n’en reste plus.

Les photos et vidéos achèveront de compléter ce petit reportage. A noter un arrêt buffet devant de magnifiques fleurs rosées carmin, d’abord identifiées comme des orchidées. Profonde erreur nous assène à juste titre Frédérique, qui identifie des pois de senteur. Bravo à sa perspicacité.

Retour express par le haut de Tigeaux, et nous redescendons par le monument aux morts dont le coq reste muet de stupeur, en nous voyant revenir si vite. Agnès nous propose ses étirements, et c’est le grand retour au bercail. Très belle sortie de 10 km, avec 280 m de dénivelé positif. Vivement samedi prochain !!!

Jean Daniel Gasparini

Bois des Vallières, le 14 mai

Le beau temps s’est maintenu toute la semaine, la sécheresse nous guette. Il est temps d’aller tâter les pentes de ce beau petit bois si boueux en temps normal. Un beau parcours plein de bosses sous un couvert végétal abondant. Que du bonheur !

Après un échauffement tonique pour préparer les genoux et autres chevilles, nous nous élançons, et gagnons le bois après la traversée d’un plateau et des champs cultivés.

Dès l’entrée, nous effectuons un petit rappel technique sur la double poussée, puis une longue descente nous amène au bord de la Marne, qui roule paresseusement ses flots d’un beau vert végétal.

Nous attaquons la première montée. Après une petite pause, nous grimpons un mur assez raide. Les racines et la pierraille nous fournissent des appuis bien venus.

Nous redescendons pour retrouver la Marne toujours aussi indolente. On remet le couvert pour une deuxième montée un peu moins pentue, mais un peu plus agreste pour finir au même niveau que précédemment.

Nouvelle descente vers la Marne qui s’est garnie d’un bateau très indiscret. il distille de la musique à tue-tête sans considération pour ce bel environnement. Fuyons ces malotrus, et attaquons la dernière montée loin de la fraîcheur du bois, et sous les flèches des rayons d’un soleil sans frein, sous un ciel limpide, et à travers des champs zébrés des pousses de maïs fraîchement sorties.

Re-pause près d’un hangar et l’ombre de ses arbres, puis 2-3 kilomètres nous ramènent au départ de la boucle par l’aqueduc de la Dhuys. Très belle ballade de l’avis des participants, qui ont très bien résisté au mal de mer à enchaîner les montées et les descentes, et on en redemande !!!

Bonne semaine et à samedi prochain.

Jean Daniel Gasparini

Champcueil, le 7 mai

C'est dans l'Essonne, à Champcueil dont le nom fleure bon la campagne, que nous nous rendons ce 7 mai.

Arrivés sur le parking, en lisière de la forêt des « Grands Avaux », un étrange bâtiment intrigue : un habitat insolite pour un stage en immersion nature ou une quête spirituelle ?

Patience, le mystère sera élucidé à 13 heures !

Notre quête est d'abord sportive : avaler bâtons en main 10 kilomètres de côtes, de faux et vrais plats, et pour les plus intrépides, se mesurer aux chaos rocheux du « Bois du Rocher du Duc », pour la bagatelle de 5 petits kilomètres supplémentaires.

La superbe forêt des « Grands Avaux » déroule sous nos pas d'agréables sentiers variés.

Ce sont d'abord, à la croisée des chemins, d'étranges créatures taillées dans deux chênes ;

Ce sont des côtes, que grâce à notre entraînement sans relâche (ou si peu), et à une météo très favorable, nous franchissons allègrement ;

Ce sont aussi nos trois intrépides camarades que nous retrouvons au hasard d'un sentier prêts à en découdre avec les rochers ;

Ce sont sur le plateau des traces de l'exploitation des grès du Télégraphe au 19ème siècle.

Et comme toujours au sommet la récompense : la « Tour du Buisson », ancien observatoire astronomique dont, infatigables grimpeurs, nous gravissons les marches.

De la terrasse, on ne nous avait pas promis la lune ni les étoiles, mais la tour Eiffel !!

Las, la tour Eiffel, facétieuse, s'est cachée ce midi ! Un joli panorama et quelques œuvres d'art récompensent cependant largement nos efforts.

Monter descendre des côtes semées de rochers, cheminer de plateaux forestiers en plaines cultivées, c'est toujours un peu progresser vers le bonheur, et c'est ainsi qu'en plaine au bout d'un champ de blé, nous avons avons trouvé la « Ferme de Noisement », nommée aussi « Ferme du Bonheur ».

Après une telle découverte, nous ne pouvons que rejoindre le parking du Télégraphe heureux et sans chuter.

Nous y retrouvons trois copines particulièrement futées, venues nous accompagner dans une quête gastronomique dans cet étrange bâtiment perché qu'est le restaurant la « Chaumière du Télégraphe » ! Comme son nom l'indique cet établissement, toujours en cours d'achèvement, a été créé par deux frères en 1967, aux abords d'un ancien… télégraphe !

Maintenant en avant toute les papilles ! Salades gersoises, andouillettes AAAA… puis Dames blanches, profiteroles… réjouissent nos palais.

Après ce repas en terrasse, où nous profitons des chênes magnifiques, il faut bien se résoudre à rentrer.

Vient alors la séquence nostalgie ! Anciens « Yéyé », fous de « Disco », lecteurs assidus de « Salut les Copains » et « Podium », nous voilà partis à Dannemois saluer la mémoire de Cloclo. Notre cheminement dans le village nous amène paisiblement au Moulin, la « Maison du Bonheur » de Cloclo, dès 1964, sauvegardée par la famille Lescure, propriétaire depuis 1998.

Belle journée. Merci à Jean-Yves pour cette initiative, et bravo à toutes et tous, pour ce moment de convivialité.

Monique Lacoste

Dammartin sur Tigeaux, le 23 avril

C’est sous un soleil timide que nous nous retrouvons au point de rendez vous non loin du château d’eau de Dammartin sur Tigeaux.

Après les échauffements de notre Agnès nationale, nous attaquons une superbe descente (que nous devrons remonter tout à l’heure), qui nous amène à un non moins superbe pont, qui enjambe un superbe grand Morin aux eaux tumultueuses et abondantes, superbes elles aussi. Pause d’esthètes pour admirer le paysage et rechercher le moulin qui devait utiliser autrefois la puissance de l’eau. Et nous remontons la pente d’en face par d’agrestes chemins qui nous mènent à Monthérand en haut de la colline. Nous traversons le village et continuons à travers champs pour atteindre un petit bois. Les choses se gâtent, car la descente que nous empruntons est assez raide et caillouteuse à certains endroits. Elle devient extrêmement subtile en suivant une trace à peine marquée, témoin de son utilisation au moyen âge ! Quelques lianes pendantes et troncs abattus en travers, donnent au paysage un caractère de jungle sauvage et inhospitalière. Les observateurs attentifs auront probablement entendus les appels de Tarzan au fond des bois !! Mais nos vaillants marcheurs nordiques ne se laissent pas impressionner par ces quelques détails, et se transformant en explorateurs, sortent victorieusement de ce fouillis végétal, et jouissent de la récompense colorée des champs de colza qui s’étirent dans le bas de la vallée. Direction Serbonne, que nous traversons pour rejoindre la route du petit Tourmalet, où nous admirons les muscles des cyclistes qui s’attaquent à cette pente mythique. Un chemin sinueux nous amène en sous-bois à une guinguette, non sans avoir admiré le travail des engins agricoles travaillant dans un nuage de poussière. Nous traversons quelques pâtures, et saluons au passage quelques vaches débonnaires pour retrouver notre pont et notre grand Morin. Agnès, menacée par un énorme matou chafouin, et arrivé par traîtrise dans son dos, prend une photo, au péril de sa vie, de notre groupe bien en sécurité sur le pont. Nous remontons la pente descendue si allègrement ce matin, et retrouvons avec bonheur ces témoins inestimables de la civilisation que sont nos automobiles, non sans avoir étiré scientifiquement nos petits muscles surmenés sous la férule d’Agnès, qui décidément aura été sur tous les fronts pendant cette balade.

Bonne semaine à tous et toutes.

Jean Daniel Gasparini

Voulangis, le 16 avril

Pour ce samedi 16 Avril, un temps très agréable pour la MN, température 14/20° et le soleil ☀️. Un parcours de 10 km autour de Voulangis (77), alternant entre sous-bois, champs et grimpettes, où 12 marcheurs nordiques sont venus affûter leurs mollets. A refaire. Nordiquement 🙋‍♂️
Jean-Yves Philippe

Forêt de Rougeau, le 19 mars

Aujourd’hui, nous sommes invités par Jean Jacques responsable du club de Boussy Saint Antoine, pour partager une sortie de marche nordique en forêt de Rougeau, non loin du Carré Sénart. Ça tombe bien car nous allons commencer par partager le soleil généreux dans un ciel limpide. Il limite les effets mordants d’un petit vent coulis qui nous rappelle que nous sommes encore en hiver.

Jean Yves prend les choses en main, je parle des bâtons, et nous échauffe avec quelques mouvements toniques propices à faire monter la température dans nos petites chaudières corporelles. Et c’est parti pour 13 km dans cette forêt, où nous allons assez peu.

Le sol est « propre », et nous progressons au milieu de chênes magnifiques et de petits sentiers où les bâtons se plantent efficacement. La colonne joue la chenille entre un groupe de furieux en tête, et une queue plus respectueuse des économies d’énergie.

Nous arrivons à un magnifique point de vue donnant sur la Seine, en haut d’une carrière. Nous profitons de cet emplacement pour faire provision de dénivelé si rare dans notre région, et ça grimpe et ça dévale à tout va, avant que Jean Jacques ne fixe le groupe pour une photo immortalisant cet instant devant un si joli paysage.

Et la chenille repart, mais l’étirement est tel qu’elle perd sa queue ! Heureusement, grâce à la colle de Google Maps, nous réussissons à opérer la réunification des deux morceaux, pour faire une photo complète du groupe devant le « gardien de la forêt », magnifique sculpture en résine patinée par les intempéries de la forêt.

Nous revenons sur le parking, et après les étirements, Jean Jacques nous a concocté une surprise. Un pot de l’amitié avec une rasade de rhum au basilic, et un magnifique médaillon en céramique création originale par une artiste du club, qui manie avec virtuosité, aussi bien le bâton de marche nordique, que la spatule du sculpteur. Nous nous quitterons sur cet agréable souvenir pour le retour sur Roissy. Merci à Jean Jacques et Jean Yves, pour nous avoir organisé cette rencontre très amicale.

Jean Daniel Gasparini

Ferrières, le 18 décembre

Ce matin, le ciel est gris et le froid humide n’incite pas beaucoup à quitter la couette. Malgré cela, c’est une armée de mères et de pères Noël qui jaillissent des voitures. C’est moderne et plus confortable que le traîneau traditionnel avec ses rennes qui distribuent du méthane à tout va. Pour la motivation, on hésite entre la perspective de faire du sport dans notre discipline préférée, ou celle du vin chaud que Fernand a eu la gentillesse de nous préparer. Je penche volontiers pour la deuxième option !!! Les bonnets rouges et blancs prennent possession des têtes. On dégaine des bâtons magiques lumineux pour certains. Les manteaux rouges et blancs recouvrent en partie le vert du club. Il n’est pas jusqu’à la musique des chants de Noël pour nous accompagner dans notre parcours.

Donc, il fait froid et humide. Il nous faut un solide échauffement avant de nous lancer sur les chemins moyennement boueux de cette inestimable forêt de Ferrières. Peu après le départ, le groupe s’étire peu à peu au fil des kilomètres. Devant, le groupe du vin chaud, pressé d’arriver chez Fernand, qui fait voler les mottes de terre en frappant rageusement le sol avec les bâtons. En queue, le groupe des sages qui s’évertue à ralentir ces jeunes freluquets impétueux du devant prêts à mettre leur santé en danger.

Par l’autoroute du nord, direction Pontcarré, que nous contournons vers le milieu de la matinée. Au fil des kilomètres, les deux groupes finissent par réaliser une synthèse d’accordéoniste ! Retour par la montagne de Ferrières que certains attaquent par la voie directe dans la face nord, malgré le névé de boue qui recouvre la surface glissante. Et sans crampons. Chapeau les artistes. Retour sans encombre. Mais avec une rapidité suspecte, où les étirements sont carrément jetés aux oubliettes ! Y a du vin chaud dans l’air. Effectivement, le groupe finit par se retrouver au complet chez Fernand. Une source chaude et odorante a jailli dans son sous sol, et nous y remplissons les gobelets. C’est parait-il une source miraculeuse qui guérit des courbatures et des engelures. Il faut croire que nous présentons tous ces symptômes, car le débit de la source suffit à peine à satisfaire les curistes. Au bout de quelques minutes et plusieurs gobelets plus tard, c’est un brouhaha convivial et animé qui nous réunit. D’autant plus que nous épongeons le vin chaud avec les douceurs pâtissières que les uns et les autres ont gentiment apportées. On est tellement bien dans cette ambiance chez Fernand, qu’il faudra deux compagnies de CRS pour nous déloger, et nous obliger à rentrer chez nous. Nous quittons à regret cette belle ambiance, en nous promettant de recommencer dès que possible.

Merci à tous pour votre participation sportive et conviviale. Merci à Fernand, Richard et Yvon pour l’accueil et la préparation de ce moment festif. Nous en avons bien besoin en ce moment !! Je vous souhaite de tout cœur de passer de bonnes fêtes de fin d’année, et vous donne rendez-vous l’année prochaine, pour ceux qui ne pourront être présents d’ici là.

Jean Daniel Gasparini

Mont Griffon, le 11 décembre

Torcy, le 13 novembre

Aujourd'hui, super balade nordique avec 15 courageux-euses qui ont affronté la bruine, les averses de Torcy, échappé au cirque FRANCONI, et traversé deux fois la Marne, le tout avec un dénivelé d'enfer « plat de chez plat », mais quand même un peu plus de 12 km. Bravo à toutes et tous, et merci pour cet apprécié moment de partage, sur le terrain et sur le groupe WApp « La MN du samedi ».

Ci-joint la carte de votre parcours !!! La vraie.

Jean Daniel Gasparini

Rentilly, le 6 novembre

Sous une petite fraîcheur matinale, 20 marcheurs nordiques ont  parcouru les allées du parc de Rentilly, et croisé de magnifiques arbres, plus que centenaires. Le soleil aidant, nous avons aussi pu profiter des couleurs automnales en formation. En fin de parcours, nous avons assisté à l'installation d'un « Écuroduc », destiné à faciliter la traversée de route, aux écureuils.
Une sortie très agréable.
Sportivement.

Jean-Yves Philippe

Noisiel, le 2 octobre

Une séance dynamique pour le premier groupe, accompagnée d'un Haka, pour certainement impressionner les adversaires éventuels. Et une séance plutôt découverte, pour les nouveaux et intermédiaires, avec un passage sur la base de loisirs de Vaires sur Marne, lieux des JO 2024 (Aviron, Kayak, ...). Une bonne sortie sous le soleil.

Jean-Yves Philippe

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