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Marcha nórdica sábado o miércoles (especificado)

Roissy en Brie, le 16 décembre

Le Père Noël et les petits lutins, pour la dernière marche nordique de l'année 2023.

Vin chaud, pain d'épices, cake… pour terminer en beauté.

De très bonnes fêtes à tous.

Jean Yves Philippe

Roissy en brie, le 30 septembre

Grosse affluence ce matin, 24 marcheurs/ses motivés, pour effectuer le tour de Roissy par la piscine le Nautil (11 km ±), et avec le soleil    . Bravo à tous.

Jean-Yves Philippe

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Champcueil, le 8 juillet

La dernière Marche Nordique de la saison, à Champcueil (91). Forêt des grands Avaux, sous une forte chaleur, mais toujours dans la bonne humeur. A suivi, un pique-nique.

Jean-Yves Philippe

Dammartin sur Tigeaux, le 10 juin

Les participants et le moulin de Prémol

Jean-Yves Philippe

Roissy étang du Coq, le 17 décembre

Engagez-vous, engagez-vous qu’ils disaient. Et pour attirer le chaland, les animateurs ont même promis un vin chaud, après la séance de marche nordique. Voici donc les participants alléchés par cette promesse, et prêts à tout pour tremper des lèvres gourmandes dans la potion magique préparée par notre druide vénéré Fernandix Bordix.

Ceci posé, il faut, avant cette récompense, affronter quand même le froid. Et ça pèle, et ça gèle. Même si notre armée de mères et de pères Noël coiffés des chauds bonnets rouges et blancs, sont habitués à parcourir les contrées enneigées sur leurs traîneaux électriques équipés de pompes à chaleur et de chauffe-eau thermodynamiques, l’ambiance est glaciale…. Jusqu’à ce que notre Père Jean Yves Noël en chef, ne se décide à dégeler l’assistance avec des échauffements hystériques et complètement bios, sur une musique entraînante. Les mouvements produisant de l’énergie, voici des bonnets qui s’allument, et font étinceler des diodes facétieuses. Et comme le dit la chanson, tout finit en dansant !!! On nez chaud, alors, en navrant !!!

Nous longeons le Morbras, transperçons la voie ferrée. Quelques buttes plus loin, nous voici dans les bois précédant l’étang du Coq (je résume). Nous perdons dans les taillis quelques marcheurs, euses, pressés, ées de marquer le territoire pour chasser les intrus. Heureusement, les voici peu de temps après jaillissant de la lisière, à pas comptés pour rejoindre le reste du groupe de marcheurs empereurs, serrés les uns contre les autres, pour se tenir chaud, à côté de la banquise de l’étang. Car la surface est gelée, et pas qu’un peu. A tel point qu’il est question d’y lâcher des ours blancs pour rééquilibrer l’écosystème de cet environnement perturbé par la présence de l’homme. En effet, des études récentes très sérieuses notent d’importantes colonies de randonneurs pléthoriques à réguler.

Nous profitons de l’absence provisoire de ces carnassiers pour prendre tranquillement la traditionnelle photo de groupe. Tout le monde a réussi à rentrer dans l’objectif. Peut-être pour s’y tenir au chaud ?

Nous repartons vers la piscine du Nautil, négligeant l’aire de pique-nique pourtant si accueillante. Le chemin qui longe ensuite la route devrait être boueux. Pas de chance pour la gadoue collante qui enchante nos lavabos au retour des sorties. Tout est gelé. Merci père Noël. Comme dit le proverbe : « quand la Brie est gelée, les godasses sont sauvées ».

Continuons en rentrant dans le bois. S’ensuit une longue ligne droite d’abord par une belle allée qui, petit à petit, se rétrécit en un sentier herbeux et sinuant. Nous entendons des détonations de fusils de chasse. Probablement un lâcher de randonneurs. Constatant que nous sommes les seuls dans cette forêt, il s’agit sans doute de nous. Horreur !! Alors, courage fuyons !

Arrivés à la route d’Ozoir hors d’haleine, nous constatons les premières défections. Christine fatiguée par notre fuite éperdue, et attirée par l’odeur du café, part se réfugier chez Xavier et Isabelle.

Les survivants continuent gaillardement en direction de Roissy. Arrivés au passage à niveau (je résume encore), c’est la débandade. Le groupe s’étire mais pas comme on aurait pu le penser ! Les plus gourmands filent directement chez Fernand. D’autres vont dans une direction inconnue du grand public. D’autres encore partent récupérer leurs voitures au stade. Quel bazar !! Pourvu que nous nous retrouvions tous chez Fernand.

Et c’est en père Noël qu’il nous accueille chaleureusement à côté d’une machine infernale. Elle fournit un délicieux vin chaud, à la composition ultra secrète. Au premier verre, nous voici tout ragaillardis. Une vraie potion magique. Nous dégustons les pâtisseries et autres douceurs amenées par les uns et les autres. Profitons de ce moment festif et amical fort bien venu, après avoir affronté les frimas. La source de vin chaud pilotée par un Fernand imperturbable débite en permanence, et semble intarissable. Les gosiers s’esbaudissent, les joues se rosissent et les toilettes se remplissent. Bref, c’est la fête. Un grand merci à Françoise et Fernand pour leur accueil. Nous clôturons ainsi de belle manière, la fin de notre année nordiquement marcheuse. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine, si le foie gras et le champagne nous le permettent, car il reste deux gros obstacles à passer : Noël et le jour de l’an. Comme dirait l’autre : « mens sana in corpore sano et allez y mollo ».

Bises à tous et joyeuses fêtes.

Jean Daniel Gasparini

Bois Saint Martin - Pontault par Denfert-Rochereau, le 10 décembre

J’ai un scoop : il fait froid ce samedi matin ! Malgré tout, nous voici 14 à partir explorer les allées magnifiques du bois Saint Martin récemment ouvert au public, dans la banlieue de Pontault Combault. Nous nous échauffons comme des bêtes. Et… c’est parti.

Avant d’entrer dans le bois, on est prié de se salir les chaussures dans la pataugeoire boueuse en travers du portail métallique.

Des chênes magnifiques nous observent nonchalamment grimper à vive allure la rampe du pont qui enjambe la voie ferrée. Virage serré à gauche avec dérapage contrôlé, reprise de la vitesse dans la ligne droite avec arrêt au stand pour vidange et remplissage du réservoir, le tout en un minimum de temps, puis passage de la baïonnette de la mort, et pointe de vitesse dans la ligne droite des Hunaudières.

Nouvel arrêt au stand. Michèle disparaît loin dans les bois effeuillés en quête d’un petit coin bucolique pour méditer sur la vanité de ce monde cruel. Nous attendons patiemment son retour, et dans un jaillissement de mottes de terre projetées par nos mollets surpuissants, nous reprenons nos cadences infernales jusqu’à la gare des Yvris. D’un commun accord, et pour limiter la production de CO2, nous n’irons pas à Denfert Rochereau, et donc, continuons en sautant allègrement la voie ferrée jusqu’au bois de Célie.

Un sentier mangé par les troncs abattus et des lianes envahissantes, nous y mène dans une lumière sombre, et quasi crépusculaire !! Un petit pont au-dessus du Merderet (mais oui c’est un ruisseau), une grande allée plus tard, et nous faisons halte au bord de l’étang dont je n’ai pas le nom, et que j’ai la flemme de chercher. Une photo nous regroupe pour fixer cet instant, dont on reparlera dans des siècles, et nous revenons au point de départ (c’est malin !!), par sentiers et larges allées.

Au total 10,346 km à 5,8 km/h chronométrés par Rolex, la marque des champions.

Bon, on s’étire, et on se tire, et vite, car il fait bien froid.

Cette fois-ci, nous n’avons pas encore réussi à semer notre nouvelle marcheuse Marie Agnès. Incroyable comme elle s’accroche ! Souhaitons-lui la bienvenue, mais nous réessaierons la prochaine fois !

Bravo à toutes et à tous pour cette belle balade. Vite à samedi prochain, surtout pour le vin chaud qui nous attend après !!

Jean Daniel Gasparini

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Roissy-en-Brie/Pontcarré, le 15 octobre

Les 12 marcheurs « Nordique » du jour. Petite bruine au départ, mais petit soleil au retour (11 km).

L'automne déploie ses couleurs, l'arbre est un chêne des marais..
Nordiquement.
Jean-Yves Philippe

Varillas, 4 de junio

Como prometí, tenemos una cita en el fondo del caldero de tigeaux, cerca del ayuntamiento. 10 mujeres valientes listas para afrontar las pistas. No ha llovido agua ni jabón, y el suelo está seco y pegajoso.

¡¡Va a ser duro para los muslos!!

La temperatura está en la parte superior, ni demasiado alta ni demasiado fría, la correcta. Ya sabes, es como en la cocina, ¡preparamos los menús a temperatura ambiente, antes de meter al horno! Tenemos la opción, hablando del horno, entre la cocción manual con luz solar generosa, o la cocción potencialmente eléctrica con tormentas previstas por el clima. Te hablé de un grupo de valientes. Así que untamos la coquillard con una tibia de langosta y, obviando estos pequeños inconvenientes, comenzamos una serie de calentamientos, solo para preparar los huesos de nuestras pequeñas articulaciones a modo de aperitivo gestual.

Esta salida será bajo el signo de la gastronomía italiana. Pero no te lo cuento todo ahora, ¡ten paciencia como el diablo!

Así pues, aquí vamos por una pendiente inmediata en agradable sotobosque fresco y benévolo. Bueno, sube y baja. Lo estoy escribiendo ahora mismo y no volveré a él otra vez.

Cruzar un gran campo de cereales (¡tengo cuidado!) nos lleva a una encrucijada, e Isabelle y Xavier sacan un arma secreta. Este es un “pane forte” traído de su viaje a la Toscana. Unas deliciosas lembas regaladas por el hada Galadriel, y que llenan el apetito con tan solo una miga. ¡¡¡Autonomía garantizada!!! Dada la asombrosa cantidad de picos para escalar, ¡devoramos todo este delicioso entremés que nos dará energía durante al menos toda la semana! Gracias a Isabelle y Xavier por esta delicada atención llena de almendras entre otros. Fíjate bien en las fotos de este delicioso producto porque no queda ninguna.

Las fotos y los videos completarán este breve informe. Tenga en cuenta una parada de buffet frente a magníficas flores de color rosa carmín, identificadas por primera vez como orquídeas. Profundo error nos sorprende con razón Frédérique, que identifica los guisantes de olor. Felicitaciones a su perspicacia.

Regreso rápido por la cima de Tigeaux, y bajamos de nuevo por el monumento a los caídos cuyo gallo se queda mudo de asombro al vernos regresar tan rápido. Agnès nos ofrece sus tramos, y es la gran vuelta al redil. Excursión muy bonita de 10 km, con 280 m de desnivel positivo. ¡¡¡Qué ganas de que llegue el próximo sábado!!!

Jean-Daniel Gasparini

Bois des Vallières, 14 de mayo

El buen tiempo se ha mantenido toda la semana, la sequía nos está observando. Es hora de ir a probar las laderas de este hermoso bosquecillo, tan embarrado en épocas normales. Un hermoso recorrido lleno de baches bajo abundante vegetación. Qué felicidad !

Después de un vigorizante calentamiento para preparar las rodillas y otros tobillos, nos ponemos en marcha y llegamos al bosque tras atravesar una meseta y campos de cultivo.

Apenas entramos, realizamos un pequeño recordatorio técnico sobre el doble empujón, luego un largo descenso nos lleva al borde del Marne, que enrolla perezosamente sus olas de un hermoso verde vegetal.

Atacamos la primera subida. Tras un breve descanso, ascendemos por una pared bastante empinada. Las raíces y las piedras nos brindan un bienvenido apoyo.

Bajamos para encontrar el Marne todavía tan indolente. Volvemos a poner la cubierta para una segunda subida un poco menos empinada, pero un poco más dura para terminar al mismo nivel que antes.

Nueva bajada hacia el Marne equipada con un barco muy indiscreto. destila música a todo pulmón sin consideración por este hermoso entorno. Huyamos de estos cabrones, y abordemos la última subida lejos del frescor del bosque, y bajo las flechas de los rayos de un sol desenfrenado, bajo un cielo despejado, y por campos salpicados de maíz recién brotado.

Vuelva a hacer una pausa cerca de un hangar y la sombra de sus árboles, luego 2-3 kilómetros nos llevarán de regreso al inicio del circuito por el acueducto de Dhuys. Muy bonito paseo en opinión de los participantes, que aguantaron muy bien el mareo enlazando subidas y bajadas, y queremos más!!!

Que tengáis una buena semana y nos vemos el próximo sábado.

Jean-Daniel Gasparini

Champcueil, 7 de mayo

Es en Essonne, en Champcueil cuyo nombre huele a campo, donde vamos el 7 de mayo.

Al llegar al estacionamiento, en el borde del bosque "Grands Avaux", un extraño edificio intriga: ¿un hábitat inusual para un curso de inmersión en la naturaleza o una búsqueda espiritual?

¡Paciencia, el misterio se resolverá a las 13:00!

Nuestra búsqueda es ante todo deportiva: tragar palos en la mano 10 kilómetros de costa, platos falsos y reales, y para los más intrépidos, medirse con el caos rocoso del "Bois du Rocher du Duc", por la bagatela de 5 pequeños kilómetros adicionales.

El soberbio bosque de los “Grands Avaux” despliega bajo nuestros pies agradables y variados caminos.

Hay primero, en la encrucijada, extrañas criaturas talladas en dos robles;

Estos son cerros, que gracias a nuestro incansable entrenamiento (o muy poco), ya un clima muy favorable, cruzamos alegres;

También son nuestros tres intrépidos camaradas a quienes encontramos al azar en un camino dispuestos a dar batalla a las rocas;

En la meseta hay huellas de la explotación de la arenisca Telegraph en el siglo XIX.

Y como siempre en la cima la recompensa: el “Tour du Buisson”, un antiguo observatorio astronómico cuyos incansables escaladores subimos los escalones.

Desde la terraza no nos prometieron la luna ni las estrellas, sino la Torre Eiffel!!

¡Ay, la jocosa Torre Eiffel se escondió esta tarde! Un buen panorama y algunas obras de arte, sin embargo, recompensan en gran medida nuestros esfuerzos.

Bajar colinas sembradas de rocas, caminar de mesetas boscosas a llanuras cultivadas, es siempre un pequeño progreso hacia la felicidad, y es así como en la llanura al final de un campo de trigo, encontramos la “Ferme de Noisement”, también llamada “Ferme du Bonheur”.

Después de tal descubrimiento, solo podemos llegar al estacionamiento del Telégrafo felices y sin caernos.

¡Encontramos allí a tres amigos particularmente inteligentes, que han venido para acompañarnos en una búsqueda gastronómica en este extraño edificio encaramado que es el restaurante "La Chaumière du Télégraphe"! Como su nombre indica, este establecimiento, aún en proceso de finalización, fue creado por dos hermanos en 1967, cerca de un antiguo... ¡telégrafo!

Ahora adelante todas las papilas gustativas! Ensaladas Gers, andouillettes AAAA… luego Dames blanches, profiteroles… deleitan nuestros paladares.

Después de esta comida en la terraza, donde aprovechamos las magníficas encinas, tenemos que decidirnos a volver.

¡Luego viene la secuencia de la nostalgia! Antiguos “Yéyé”, locos por la “Disco”, lectores habituales de “Salut les Copains” y “Podium”, aquí vamos a Dannemois a saludar la memoria de Cloclo. Nuestro recorrido por el pueblo nos lleva tranquilamente al Moulin, la "Casa de la Felicidad" de Cloclo, desde 1964, custodiada por la familia Lescure, propietaria desde 1998.

Buen dia. Gracias a Jean-Yves por esta iniciativa y felicidades a todos por este momento de convivencia.

Monique Lacoste

Dammartin sur Tigeaux, 23 de abril

Es bajo un sol tímido que nos encontramos en el punto de encuentro no lejos de la torre de agua de Dammartin sur Tigeaux.

Tras los calentamientos de nuestra nacional Agnès, acometemos una soberbia bajada (que tendremos que subir más adelante), que nos lleva a un no menos soberbio puente, que salva un soberbio Grand Morin de aguas tumultuosas y abundantes, soberbia también . . Pausa para los estetas para admirar el paisaje y buscar el molino que utilizaba la fuerza del agua en el pasado. Y subimos la ladera de enfrente por caminos rústicos que nos llevan a Monthérand en lo alto de la colina. Cruzamos el pueblo y continuamos entre campos hasta llegar a un pequeño bosque. Las cosas van mal, porque la bajada que hacemos es bastante empinada y rocosa en algunos tramos. ¡Se vuelve extremadamente sutil siguiendo un rastro apenas marcado, testigo de su uso en la Edad Media! Algunas enredaderas colgantes y troncos talados dan al paisaje el carácter de una selva salvaje e inhóspita. ¡Los observadores atentos probablemente habrán escuchado las llamadas de Tarzán en lo profundo del bosque! Pero nuestros valientes nórdicos no se dejan impresionar por estos pocos detalles y, transformándose en exploradores, emergen victoriosos de este revoltijo vegetal y disfrutan de la colorida recompensa de los campos de colza que se extienden en el fondo del valle. Dirección Serbonne, que cruzamos para incorporarnos a la carretera del pequeño Tourmalet, donde admiramos la musculatura de los ciclistas que atacan esta mítica pendiente. Un camino sinuoso nos lleva entre la maleza hasta una taberna, no sin admirar el trabajo de la maquinaria agrícola trabajando en una nube de polvo. Cruzamos unos potreros, y saludamos a unas vacas bonachonas de camino a encontrar nuestro puente y nuestro gran Morin. Agnès, amenazada por un enorme gato chafouin, y llegando traidoramente detrás de ella, toma una foto, arriesgando su vida, de nuestro grupo a salvo en el puente. Remontamos la pendiente que con tanta fuerza hemos bajado esta mañana, y redescubrimos felices a estos inestimables testigos de civilización que son nuestros automóviles, no sin haber estirado científicamente nuestros musculitos sobrecargados bajo el mandato de Agnès, que sin duda habrá estado en todos los frentes. durante este paseo.

Buena semana a todos.

Jean Daniel Gasparini

Voulangis, 16 de abril

Para este sábado 16 de abril clima muy agradable para el MN, temperatura 14/20° y sol ☀️. Un recorrido de 10 km por los alrededores de Voulangis (77), alternando entre maleza, campos y subidas, donde 12 senderistas nórdicos acudieron a afilar sus pantorrillas. A volver a hacer. Nórdico 🙋‍♂️
Jean Yves Philippe

Bosque de Rougeau, 19 de marzo

Hoy, Jean Jacques, director del club Boussy Saint Antoine, nos invita a compartir una excursión de marcha nórdica en el bosque de Rougeau, no lejos de Carré Sénart. Eso es bueno porque vamos a empezar compartiendo el sol generoso en un cielo despejado. Limita los efectos mordaces de una ligera borrasca que nos recuerda que todavía estamos en invierno.

Jean Yves toma las riendas, hablo de los polos, y nos calienta con unos movimientos tónicos propicios para subir la temperatura en nuestras calderitas corporales. Y nos vamos durante 13 km en este bosque, donde vamos muy poco.

El suelo está "limpio", y avanzamos en medio de magníficos robles y pequeños caminos donde las varas se plantan con eficacia. La columna hace de oruga entre un grupo de furiosos a la cabeza, y una cola más respetuosa con el ahorro energético.

Llegamos a un magnífico mirador sobre el Sena, en lo alto de una cantera. Aprovechamos esta ubicación para abastecernos de la elevación tan rara en nuestra región, que sube y baja a toda velocidad, antes de que Jean Jacques fije al grupo para una foto que inmortalice este momento frente a un paisaje tan bonito.

¡Y la oruga vuelve a empezar, pero el estiramiento es tal que pierde la cola! Afortunadamente, gracias al pegamento de Google Maps logramos reunir las dos piezas, para tomar una foto completa del grupo frente al "guardián del bosque", una magnífica escultura de resina patinada por el mal tiempo del bosque.

Volvemos al aparcamiento y, tras estirarnos, Jean Jacques nos ha preparado una sorpresa. Una olla de la amistad con una copa de ron con albahaca, y un magnífico medallón de cerámica, creación original de un artista del club, que maneja con virtuosismo tanto el bastón nórdico como la espátula de escultor. Dejaremos este grato recuerdo para el regreso a Roissy. Gracias a Jean Jacques y Jean Yves, por haber organizado este encuentro tan amistoso.

Jean Daniel Gasparini

Ferrières, 18 de diciembre

Esta mañana, el cielo está gris y el frío húmedo no anima a muchos a dejar el edredón. A pesar de ello, es un ejército de padres y madres los que saltan de los coches. Es moderno y más cómodo que el tradicional trineo con sus renos que reparte metano a toda costa. Para motivarnos, dudamos entre la perspectiva de hacer deporte en nuestra disciplina favorita o la del vino caliente que Fernand tuvo la amabilidad de prepararnos. Con mucho gusto me decantaría por la segunda opción!!! Los gorros rojiblancos toman posesión de las cabezas. Dibujamos palos mágicos ligeros para algunos. Los casacos rojiblancos tapan parcialmente el verde del club. No es hasta que la música de los villancicos nos acompañe en nuestro viaje.

Así que es frío y húmedo. Necesitamos un buen calentamiento antes de emprender los caminos moderadamente embarrados de este precioso bosque de Ferrières. Poco después de la salida, el grupo se estira poco a poco a lo largo de los kilómetros. Enfrente, el grupo del vino caliente, con prisa por llegar a Fernand, que hace volar los terrones de tierra golpeando furiosamente el suelo con los palos. En la parte de atrás, el grupo de sabios que se esfuerzan al máximo por frenar a estos impetuosos jóvenes mequetrefes del frente, dispuestos a poner en peligro su salud.

Por la carretera del norte, dirección Pontcarré, que bordeamos a media mañana. ¡A lo largo de los kilómetros, los dos grupos terminan logrando una síntesis acordeonista! Regreso por la montaña de Ferrières que algunos atacan por el camino directo por la cara norte, a pesar del manto de barro que cubre la superficie resbaladiza. Y sin pinchos. Felicitaciones a los artistas. Devolución sin complicaciones. ¡Pero con una velocidad sospechosa, donde los tramos quedan completamente en el olvido! Hay vino caliente en el aire. Efectivamente, el grupo acaba completo en casa de Fernand. Un manantial caliente y fragante ha brotado en su sótano, y estamos llenando las copas allí. Se dice que es una fuente milagrosa que cura dolores y congelaciones. Es necesario creer que presentamos todos estos síntomas, porque el caudal de la fuente apenas alcanza para satisfacer a los curistas. Después de unos minutos y varias tazas más tarde, es un alboroto amistoso y animado lo que nos une. Sobre todo porque limpiamos el vino caliente con los dulces de pastelería que cada uno ha traído amablemente. Estamos tan cómodos en este ambiente en Fernand's, que se necesitarán dos compañías de CRS para desalojarnos y obligarnos a regresar a casa. Dejamos este hermoso ambiente con pesar, prometiendo comenzar de nuevo lo antes posible.

Gracias a todos por su participación deportiva y amistosa. Gracias a Fernand, Richard e Yvon por la acogida y la preparación de este momento festivo. ¡¡Realmente lo necesitamos ahora mismo!! Les deseo de todo corazón una buena temporada navideña y espero verlos el próximo año, para aquellos que no puedan estar presentes para entonces.

Jean Daniel Gasparini

Mont Griffon, 11 de diciembre

Torcy, 13 de noviembre

Hoy, una gran marcha nórdica con 15 valientes que se enfrentaron a la llovizna, a los chaparrones de Torcy, escaparon del circo FRANCONI, y cruzaron el Marne dos veces, todas con un desnivel infernal, pero todavía un poco más de 12 kilómetros Felicitaciones a todos, y gracias por este apreciado momento de compartir, en el terreno y en el grupo WApp "La MN duSaturday".

Adjunto el mapa de su ruta!!! La verdad.

Jean-Daniel Gasparini

Rentilly, 6 de noviembre

Bajo una ligera brisa matinal, 20 nordic walkers  recorrieron los senderos del parque Rentilly y cruzaron magníficos árboles de más de cien años. Con la ayuda del sol, también pudimos aprovechar los colores del otoño en formación. Al finalizar el curso, asistimos a la instalación de un "Ecuroducto", destinado a facilitar el cruce de la carretera, a las ardillas.
Una salida muy agradable.
De modo deportivo.

Jean Yves Philippe

Noisiel, 2 de octubre

Una sesión dinámica para el primer grupo, acompañados de un Haka, para impresionar sin duda a los posibles adversarios. Y una sesión más bien de descubrimiento, para principiantes e intermedios, con una visita al centro de ocio de Vaires sur Marne, sede de los Juegos Olímpicos de 2024 (remo, kayak, etc.). Una buena salida al sol.

Jean Yves Philippe

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